En ce 1er novembre, les Français profitent volontiers d'un jour férié : la Toussaint, fête catholique en l'honneur de tous les saints. Ayant des concepts plus élaborés que Stéphane Laporte, je prends la liberté d'aborder le sujet de sainte Jeanne d'Arc, dite la Pucelle d'Orléans.
Brûlée vive sur la place du Vieux-Marché de Rouen le 30 mai 1431, j'ai arrêté mon regard sur le lieu d'exécution de cette héroïne nationale lors d'un petit voyage de deux jours en Normandie. Située au coeur de Rouen depuis 1979, l'église sainte Jeanne d'Arc ne laisse pas indifférent par son architecture de bateau renversé. Étonnament, certains historiens remettent en question la véracité des vestiges, car la Pucelle d'Orléans n'aurait pas monté sur le bûcher. En effet, les conditions particulières de l'exécution, celles d'être voilée en hauteur à distance du public, ont permis à plusieurs femmes de se présenter en affirmant avoir échappé aux flammes, dont une prétendante plutôt convaincante. L'histoire raconte que les Anglais ont ordonné de jeter les cendres dans la Seine, mais des reliques sont découvertes en 1867 dans le grenier d'un apothicaire parisien. Depuis 2006, une équipe de dix-huit chercheurs dirigée par le médecin légiste Philippe Charlier étudie les restes présumés de Jeanne d'Arc à la lumière de la science moderne pour finalement percer ce mystère historique. Quoi qu'il advienne, où il y a certainement eu une mise à mort, le sol restera moyenâgeux...
Brûlée vive sur la place du Vieux-Marché de Rouen le 30 mai 1431, j'ai arrêté mon regard sur le lieu d'exécution de cette héroïne nationale lors d'un petit voyage de deux jours en Normandie. Située au coeur de Rouen depuis 1979, l'église sainte Jeanne d'Arc ne laisse pas indifférent par son architecture de bateau renversé. Étonnament, certains historiens remettent en question la véracité des vestiges, car la Pucelle d'Orléans n'aurait pas monté sur le bûcher. En effet, les conditions particulières de l'exécution, celles d'être voilée en hauteur à distance du public, ont permis à plusieurs femmes de se présenter en affirmant avoir échappé aux flammes, dont une prétendante plutôt convaincante. L'histoire raconte que les Anglais ont ordonné de jeter les cendres dans la Seine, mais des reliques sont découvertes en 1867 dans le grenier d'un apothicaire parisien. Depuis 2006, une équipe de dix-huit chercheurs dirigée par le médecin légiste Philippe Charlier étudie les restes présumés de Jeanne d'Arc à la lumière de la science moderne pour finalement percer ce mystère historique. Quoi qu'il advienne, où il y a certainement eu une mise à mort, le sol restera moyenâgeux...
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