À Paris, il y a des désagréments au transport en commun. En deux semaines, j'ai vécu trois perturbations. Tout d'abord, en raison d'un « accident de personne » à une station, une voix inaudible semblable à un service à l'auto annonça le RER « perturbé » dans les deux directions, puis « très perturbé » à finalement « interrompu ». Toute cette panique garda le métro immobile pour une quinzaine de minutes, le temps d'entasser le maximum de personnes dans les wagons. Tentative de suicide ? Probablement. À la Régie autonome des transports parisiens (RATP), on évoque 70 « accidents graves » en 2006. En fait, le métro et la Tour Eiffel sont deux lieux parisiens privilégiés pour les tentatives de suicide. La deuxième fois, lors de l'heure de pointe du matin, un problème technique sur la ligne amena les passagers à descendre furieusement. Allons tous engorger les correspondances ! C'est tout de même embêtant lorsqu'il ne faut pas arriver en retard à un cours d'université. Il n'y a pas que des touristes à Paris ! Enfin, la troisième fois, un colis suspect à une station mit abruptement fin au trajet. Je n'ai pas compilé les personnes louches et fétides ou les jeunes qui dansent et chantent dans les wagons pour quelques centimes... J'ai d'autres choses à faire.
18 septembre 2007
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